Robert Moore, propriétaire d'un moulin en difficulté, est dans de beaux draps. Les guerres napoléoniennes ont bouleversé l'économie et il se démène pour éviter la faillite de son entreprise. Chaque jour, il a l'impression de nager à contre-courant, gardant à peine la tête hors de l'eau.Mais Robert n'était pas du genre à baisser les bras. Têtu comme une mule, il refusait de reculer même face à l'adversité. Sa détermination était à toute épreuve et son ambition brûlante. Il fallait le voir, penché sur ses livres de comptes nuit après nuit, les yeux plissés à la lueur des bougies.Pour Robert, les nouvelles machines étaient la solution miracle, promettant une production accrue à moindre coût. Mais les ouvriers locaux ne l'entendaient pas de cette oreille. Ils voyaient ces machines comme des monstres sortis tout droit d'un cauchemar, prêts à dévorer leurs emplois.Le pauvre Robert ne savait plus où donner de la tête. En ville, il sentait les regards pesants dans son dos. Les conversations s'arrêtaient net à son approche, comme si tout le monde cachait un lourd secret. C'était comme marcher sur des œufs, sans savoir quand la situation pourrait exploser.Pourtant, malgré les coups durs, l'esprit de Robert restait inébranlable. Tel un capitaine au cœur de la tempête, il gardait les yeux rivés sur l'horizon, refusant d'abandonner quelle que soit la force des vagues.Le destin semblait s'acharner à tester la résistance de Robert. La pression économique s'intensifiait, tel un étau se resserrant lentement. Mais chaque jour, sa détermination grandissait.L'avenir était aussi incertain qu'un brouillard épais, s'étendant vers l'inconnu. Mais Robert Moore était prêt à affronter tous les obstacles, armé d'une volonté de fer et de grands rêves.Alors que la situation de Robert semblait déjà bien compliquée, voilà qu'entre en scène Caroline. Cette fille en pinçait pour Robert, et pas qu'un peu. Dès qu'il apparaissait, son cœur s'emballait. Son regard perçant la transformait en guimauve. Elle essayait de garder son sang-froid, mais cacher ses sentiments pour Robert relevait de l'impossible.